Initiée par S.A.R. la Princesse Lalla Hasna, présidente de la Fondation Mohammed VI pour l'environnement : opération d'envergure de réhabilitation du patrimoine vert national
C'est à un vaste programme de protection, de préservation, de réhabilitation des jardins historiques et de création d'espaces verts dans des zones à forte densité que s'est attelée la Fondation Mohammed VI pour la protection de l'environnement.
Présidée par S.A.R. la Princesse Lalla Hasna qui en suit personnellement les actions, la Fondation a déjà réalisé quelques projets de grande envergure dans certaines villes du Royaume. C'est le cas par exemple du jardin Nouzhat Lalla Hasna.
S.A.R. la Princesse Lalla Hasna, une action soutenue pour la protection de l'environnement
Créé au IIe siècle, ce jardin situé au pied de la Koutoubia, à Marrakech, était dans un état de délabrement avancé. La Fondation avait décidé de rendre à ce jardin historique sa splendeur d'antan.
Le cyber parc Moulay Abdeslam, situé dans la ville Ocre, est un autre exemple édifiant d'un partenariat réussi entre la Fondation Mohammed VI et une entreprise citoyenne. S'étendant sur neuf hectares, ce jardin avait été créé au XVIIIe siècle par un écrivain et poète, fils du Sultan alaouite Sidi Mohammed Ben Abdallah.
Une fois réhabilité et restauré, ce jardin a pu intégrer harmonieusement deux données essentielles : une mise en valeur de l'héritage historique existant et une ouverture sur le futur avec la création d'un espace d'exposition et de démonstration des technologies de pointe dans le domaine de la communication.
Le travail qui est effectué actuellement dans les jardins exotiques de Bouknadel révèle à merveille cette politique de préservation des jardins historiques développée et défendue par la Fondation Mohammed VI pour l'environnement. Ainsi, tout en restaurant l'existant, la Fondation permet à ces espaces verts de s'ouvrir encore plus sur leur environnement en développant diverses structures dédiées à l'avenir. D'autres jardins historiques (Jnane sbile à Marrakech, Parc de la Ligue arabe à Casablanca, Jardin d'essais à Rabat, etc.) sont en cours d'évaluation. Des partenaires locaux et des entreprises citoyennes seront associés à ces opérations de rénovation des espaces verts. «Le principe développé par S.A.R. la Princesse Lalla Hasna, présidente de la Fondation Mohammed VI pour l'environnement, dans ce domaine, explique M.Tijani, président-délégué de la Fondation, c'est essentiellement de redonner aux jardins publics, aux espaces verts leur renommée tout en permettant leur développement. La Fondation aspire à assurer à ces jardins un développement durable, c'est-à-dire ne pas avoir de jardins pour lesquels on dépense beaucoup d'argent et ensuite les laisser sans entretien et dans un état lamentable. Dans ces cas-là, ces jardins deviennent plus un dépotoir qu'autre chose.
La politique initiée par la Fondation et par S.A.R. la Princesse Lalla Hasna repose sur deux créneaux. C'est tout d'abord le projet que nous essayons de monter et que nous allons bientôt lancer et qui concerne le développement des espaces verts dans les quartiers populaires. Ainsi, partout où il y a un habitat dense, la Fondation va veiller à ce qu'il y ait des espaces verts associés pour permettre aux gens d'avoir des endroits pour se retrouver, un endroit fleuri au printemps, ombragé en été.
Mais avant de concrétiser ce projet que la Fondation défend, nous avons estimé qu'il fallait commencer par restaurer et réhabiliter tous ces jardins historiques qui sont parfois dans un état de dégradation avancée. Le but de la Fondation dans ce domaine est non seulement de remettre en l'état ces jardins historiques pour montrer qu'il y a un patrimoine à préserver mais aussi de démontrer que si l'on veut développer quelque chose à l'avenir, il faut savoir préserve, ce que nous avons. Ce qui signifie que ce n'est nullement la peine de faire du nouveau si l'on est incapable d'entretenir ce que l'on a déjà.
L'expérience a ainsi montré que lorsque ces jardins historiques sont réhabilités, ils peuvent redevenir mieux que ce qu'ils étaient auparavant… ” Cette volonté de réconcilier les Marocains avec leur environnement et leur patrimoine historique en leur permettant de jouir d'espaces verts restaurés s'inspire d'une stratégie ciblée de longue haleine. L'opération visée, et qui est inscrite dans le cadre du programme Villes fleuries, a pour but une réhabilitation du patrimoine vert national. Restaurer l'existant, mais aussi s'ouvrir sur d'autres expériences, guide dans ce sens les pas de la Fondation. Et c'est dans ce cadre justement que le Maroc vient de participer au Festival des jardins Métis au Canada. Une opération fort réussie puisque seuls deux autres pays méditerranéens étaient invités à cette manifestation, à savoir l'Italie et la France. “ C'était un honneur pour le Maroc que d'être choisi pour participer à cette opération.
La Fondation, explique Lhoucine Tijani, déploie actuellement des efforts pour s'inscrire dans un réseau d'échanges à l'échelle internationale. Cette option a beaucoup d'avantages puisqu'elle permet à notre pays de s'inscrire dans un réseau international, de profiter et d'échanger différentes expériences avec d'autres pays dans ce domaine, de favoriser le tourisme et d'inscrire notre pays dans des sites où il se passe des choses… ”. Les retombées de cette opération ne se sont pas fait attendre puisque les Canadiens ont exprimé leur souhait de coopérer avec la Fondation dans ce domaine.
C'est à un vaste programme de protection, de préservation, de réhabilitation des jardins historiques et de création d'espaces verts dans des zones à forte densité que s'est attelée la Fondation Mohammed VI pour la protection de l'environnement.
Présidée par S.A.R. la Princesse Lalla Hasna qui en suit personnellement les actions, la Fondation a déjà réalisé quelques projets de grande envergure dans certaines villes du Royaume. C'est le cas par exemple du jardin Nouzhat Lalla Hasna.
S.A.R. la Princesse Lalla Hasna, une action soutenue pour la protection de l'environnement
Créé au IIe siècle, ce jardin situé au pied de la Koutoubia, à Marrakech, était dans un état de délabrement avancé. La Fondation avait décidé de rendre à ce jardin historique sa splendeur d'antan.
Le cyber parc Moulay Abdeslam, situé dans la ville Ocre, est un autre exemple édifiant d'un partenariat réussi entre la Fondation Mohammed VI et une entreprise citoyenne. S'étendant sur neuf hectares, ce jardin avait été créé au XVIIIe siècle par un écrivain et poète, fils du Sultan alaouite Sidi Mohammed Ben Abdallah.
Une fois réhabilité et restauré, ce jardin a pu intégrer harmonieusement deux données essentielles : une mise en valeur de l'héritage historique existant et une ouverture sur le futur avec la création d'un espace d'exposition et de démonstration des technologies de pointe dans le domaine de la communication.
Le travail qui est effectué actuellement dans les jardins exotiques de Bouknadel révèle à merveille cette politique de préservation des jardins historiques développée et défendue par la Fondation Mohammed VI pour l'environnement. Ainsi, tout en restaurant l'existant, la Fondation permet à ces espaces verts de s'ouvrir encore plus sur leur environnement en développant diverses structures dédiées à l'avenir. D'autres jardins historiques (Jnane sbile à Marrakech, Parc de la Ligue arabe à Casablanca, Jardin d'essais à Rabat, etc.) sont en cours d'évaluation. Des partenaires locaux et des entreprises citoyennes seront associés à ces opérations de rénovation des espaces verts. «Le principe développé par S.A.R. la Princesse Lalla Hasna, présidente de la Fondation Mohammed VI pour l'environnement, dans ce domaine, explique M.Tijani, président-délégué de la Fondation, c'est essentiellement de redonner aux jardins publics, aux espaces verts leur renommée tout en permettant leur développement. La Fondation aspire à assurer à ces jardins un développement durable, c'est-à-dire ne pas avoir de jardins pour lesquels on dépense beaucoup d'argent et ensuite les laisser sans entretien et dans un état lamentable. Dans ces cas-là, ces jardins deviennent plus un dépotoir qu'autre chose.
La politique initiée par la Fondation et par S.A.R. la Princesse Lalla Hasna repose sur deux créneaux. C'est tout d'abord le projet que nous essayons de monter et que nous allons bientôt lancer et qui concerne le développement des espaces verts dans les quartiers populaires. Ainsi, partout où il y a un habitat dense, la Fondation va veiller à ce qu'il y ait des espaces verts associés pour permettre aux gens d'avoir des endroits pour se retrouver, un endroit fleuri au printemps, ombragé en été.
Mais avant de concrétiser ce projet que la Fondation défend, nous avons estimé qu'il fallait commencer par restaurer et réhabiliter tous ces jardins historiques qui sont parfois dans un état de dégradation avancée. Le but de la Fondation dans ce domaine est non seulement de remettre en l'état ces jardins historiques pour montrer qu'il y a un patrimoine à préserver mais aussi de démontrer que si l'on veut développer quelque chose à l'avenir, il faut savoir préserve, ce que nous avons. Ce qui signifie que ce n'est nullement la peine de faire du nouveau si l'on est incapable d'entretenir ce que l'on a déjà.
L'expérience a ainsi montré que lorsque ces jardins historiques sont réhabilités, ils peuvent redevenir mieux que ce qu'ils étaient auparavant… ” Cette volonté de réconcilier les Marocains avec leur environnement et leur patrimoine historique en leur permettant de jouir d'espaces verts restaurés s'inspire d'une stratégie ciblée de longue haleine. L'opération visée, et qui est inscrite dans le cadre du programme Villes fleuries, a pour but une réhabilitation du patrimoine vert national. Restaurer l'existant, mais aussi s'ouvrir sur d'autres expériences, guide dans ce sens les pas de la Fondation. Et c'est dans ce cadre justement que le Maroc vient de participer au Festival des jardins Métis au Canada. Une opération fort réussie puisque seuls deux autres pays méditerranéens étaient invités à cette manifestation, à savoir l'Italie et la France. “ C'était un honneur pour le Maroc que d'être choisi pour participer à cette opération.
La Fondation, explique Lhoucine Tijani, déploie actuellement des efforts pour s'inscrire dans un réseau d'échanges à l'échelle internationale. Cette option a beaucoup d'avantages puisqu'elle permet à notre pays de s'inscrire dans un réseau international, de profiter et d'échanger différentes expériences avec d'autres pays dans ce domaine, de favoriser le tourisme et d'inscrire notre pays dans des sites où il se passe des choses… ”. Les retombées de cette opération ne se sont pas fait attendre puisque les Canadiens ont exprimé leur souhait de coopérer avec la Fondation dans ce domaine.