Princess Caroline & Prince Ernst August Current Events 7 : May 2005 - July 2005


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monaco70s said:
Cool pics tbhrc :) Are those from this weekend in Marbella?

You're welcome. The caption is on page 6. :)
 
Oh thanks just saw it :) I wonder if we'll get the chance to see any pics of the baptism they attended later this week?
 
monaco70s said:
Oh thanks just saw it :) I wonder if we'll get the chance to see any pics of the baptism they attended later this week?

That would be so great!!!:):D
 
Thanks, Juliette, for the photos. Thanks, tbhrc, for the photos and collages. Just what I needed after a grueling day at work!!
 
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Princess Caroline of Monaco and Prince Albert II of Monaco attend a giving prize ceremony for Prince Pierre foundation in the Prince Palace in Monaco on June 15, 2005. On the picture, they are surrounded by winners of the prize: from L to R: Andre Makine, Yasmine Ghata, Carlos Garaicoa and Frederic Durieux.
 

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Thanks for the pics juliette!!!!!!!!
Caroline lookec pretty (as always)
 
juliette said:
winners of the prize: from L to R: Andre Makine, Yasmine Ghata, Carlos Garaicoa and Frederic Durieux.
Thanks a lot for the pics and info.
Though I'm not a big fan of Andre Makine, I'm pleased he received that prize "which gives recognition to a French writer or any well-known author who writes in French". I'm wondering, who admires the writings of Makine in the Grimaldi family.
 
Does someone have larger versions of these pics? If you have some please post them. That would be sooooooo great!!! Thanks!!:D:)
 

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A communique about this year's Prince Pierre Awards. You can learn more about the winners.

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14/06/2005

Palmarès de la Fondation Prince Pierre
Monaco – 14 juin 2005




Le Palmarès 2005 de la Fondation Prince Pierre vient d'être proclamé :

· Lauréat du Prix Littéraire :

Andreï Makine

· Lauréat de la Bourse de la Découverte :

Yasmine Ghata

· Lauréat du Prix de Composition Musicale :

Frédéric Durieux

· Lauréat du Prix International d'Art Contemporain

Carlos Garaicoa


Andreï MAKINE


« Je suis né le 10 septembre 1957 à Krasnoïarsk (Sibérie). Mon enfance fut marquée par l'immensité des espaces sibériens, par la singularité des us et coutumes de cette contrée, par son passé (évoqués dans Au temps du fleuve Amour). Durant ces années-là, on rencontrait dans les villes russes des anciens prisonniers du Goulag et des rescapés des camps allemands. Leurs récits ainsi que plus généralement le passé de l'époque stalinienne (la terreur politique et la lutte contre l'invasion nazie) se sont profondément gravés dans ma mémoire.

La présence d'une Française (qui apparaît sous le nom de Charlotte Lemonnier dans Le testament français) forme un monde à part dans l'univers sibérien de mes jeunes années. Elle m'initie à la langue et à la culture françaises. Devenant bilingue, je découvre aussi une autre forme de bilinguisme : celle que manie la poésie en réinventant la langue. Les poèmes (de jeunesse) que j'écris me laissent expérimenter cet « entre-deux-langues » de l'écriture poétique que j'ai déjà exploré dans le passage du russe au français. Ces expériences de bilinguisme me font prendre conscience que le monde n'est pas unique, que la résistance à la pression idéologique est possible précisément grâce à ces mondes doubles, qu'il y a toujours un ailleurs.

A l'époque, je cherche cet ailleurs dans les voyages (Sibérie, Extrême-Orient, Asie centrale, le Grand Nord russe), au cours des années 70. Ce sont aussi les années d'université à Kalinine puis à Moscou. D'autres voyages me mènent en Europe occidentale, en Asie, en Afrique et en Australie. Depuis la fin des années 80, je vis en France. J'enseigne quelques années à Sciences-Po, fais une thèse de doctorat sur l'œuvre d'un grand poète et prosateur russe, Ivan Bounine. En 1990, je publie La fille d'un héros de l'Union soviétique, en 1995, Le testament français obtient plusieurs prix littéraires, dont le Goncourt. »

En 1998, Andreï Makine publie Le Crime d'Olga Arbélina et en 2000 Requiem pour l'Est, roman d'amour cerné par la mort, où l'écrivain rend hommage à une Russie qui, par ses tourments, n'a cessé d'exacerber l'âme de son peuple.

En 2001, il reçoit le Grand Prix RTL / LIRE pour La musique d'une vie, roman court, contre l'attente. Tout y est intériorisé, comme des sentiments restés trop longtemps emprisonnés pour pouvoir jamais s'épanouir au grand jour.

Revenant à une inspiration plus autobiographique, Makine nous livre en 2003 La Terre et le ciel de Jacques Dorme, roman foisonnant entre légende et carnet intime où éclate une nouvelle fois son amour de la langue française.

En 2004, Andreï Makine fait paraître La femme qui attendait . « Véra est l'un de ces êtres que Dostoïevski appelait « héros de l'extrême ». Engagés à corps perdu dans leur quête spirituelle ou amoureuse, ils se débattent à la limite de la folie mais aussi de la vérité souveraine. Celle, charnelle, et cosmique, qui exprime le dense mystère de leur vie, si humble d'apparence.

La folie de Véra est d'attendre l'homme qu'elle aime, de refuser l'oubli, d'arracher à la solitude les âmes abandonnées par ceux qui préfèrent oublier. Mais surtout de garder l'espérance. Malgré tout. » (4ème de couverture)

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Yasmine GHATA: La nuit des calligraphes (Fayard, 2004)


Fille de la grande poétesse Vénus Khoury-Ghata, Yasmine Ghata est née en 1975. Elle a suivi les cours de l'Ecole du Louvre et est experte en histoire de l'art islamique et orientaliste. La nuit des calligraphes est son premier roman. « Il est né d'une rencontre, en 2000, lors d'une exposition de calligraphie organisée par le milliardaire Sakip Sabanci. La future romancière découvre alors, au hasard d'une vitrine, une calligraphie de sa grand-mère paternelle, une femme turque qu'elle savait artiste, mais pas calligraphe. Intriguée par ce clin d'œil hors du temps, elle ne pourra affronter le mystère de ses origines qu'en prenant à son tour la plume pour se faire écrivain. » (Philippe Perrier, Lire, septembre 2004)

La nuit des calligraphes raconte la vie de Rikkat Kunt. Mais, pour plus de liberté, la romancière choisit de commencer par narrer la mort de sa grand-mère: « Ni cri ni larmes. Ma mort fut aussi douce que la pointe du roseau trempant ses fibres dans l'encrier, plus rapide que l'encre bue par le papier. » « Douce, paisible, comme les premières lignes de ce monologue sensible et émouvant qui semble épouser, plus que la voix de Rikkat, le souffle qui dirigea sa main et gouverna son destin. Jusqu'au crépuscule d'une existence marquée par le désamour, l'abandon, l'exil, la perte et finalement la maladie qui la priva, dans ses derniers jours, du seul don qui enlumina toute sa vie: la calligraphie. » (Christine Rousseau, Le Monde des Livres du 20 août 2004)

Cette vie s'articule sur un moment charnière, l'année 1928, date à laquelle Atatürk décrète pour son pays l'abandon de l'alphabet arabe au profit d'une version modifiée de l'alphabet latin. A partir de là, l'art ancestral de la calligraphie disparaît et les vieux calligraphes ont l'interdiction d'exercer leur art. C'est donc en secret et dans des asiles où sont retranchés ces artistes « habités par la parole de Dieu » que Rikkat apprend son art. Elle a pour maître Selim, « le marabout de Dieu », qui, avant de mourir, lui lègue son matériel et son savoir. La calligraphie est un absolu, une approche de la divinité: « Les calligraphes seuls savent établir un dialogue entre Dieu et les hommes. » Grâce à l'écritoire et à l'encre d'or de Selim, Rikkat trouve sa raison d'être.

A travers cette très belle figure de femme possédée par son art – être libre, sensible et en perpétuelle progression -, Yasmine Ghata nous initie, en des termes souvent techniques mais toujours poétiques, à l'art de la calligraphie. Celle-ci est présentée comme une sphère qui a résisté aux bouleversements de l'Histoire, préservée, suspendue dans le temps, dernier lien avec la spiritualité et les croyances ancestrales.

Au passage, la romancière en profite pour dépeindre les us et coutumes ainsi que l'identité d'une nation que nous connaissons bien mal: « dans les pleins et déliés d'une écriture toute de finesse, de délicatesse et de poésie, Yasmine Ghata livre en creux le portrait d'un pays - la Turquie - en proie aux assauts de l'occidentalisation. » (C. Rousseau, id)


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Frédéric DURIEUX : Traverses 1, 2 & 3 pour grand orchestre


Né en 1959, Frédéric Durieux étudie au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris de 1982 à 1986. Il y obtient un premier prix de composition dans la classe d'Ivo Malec ainsi qu'un premier prix d'analyse dans celle de Betsy Jolas. Il a suivi des master classes avec Brian Ferneyhough, Gérard Grisey, Hugues Dufourt, György Ligeti et Tristan Murail. Il complète sa formation à l'IRCAM entre 1985 et 1986. Il est pensionnaire de la Villa Médicis à Rome, de 1987 à 1989, et il suit également les cours d'analyse d'Alain Poirier et de composition d'André Boucourechliev.

En 1983, Frédéric Durieux est sélectionné par le comité de lecture de l'Ensemble Inter Contemporain qui exécutera, en 1985, Exil II pour soprano, contralto et ensemble sur un poème d'Yves Bonnefoy. Parallèlement, l'ensemble Itinéraire lui passe commande de sa première œuvre pour ensemble et électronique, Parcours Pluriel, réalisée à l'IRCAM. Depuis, il a reçu de nombreuses commandes et ses œuvres sont jouées tant en France qu'à l'étranger.

Depuis 1990, il enseigne au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris. Tout d'abord professeur d'analyse (1990 – 2001), il a été nommé professeur de composition en 2001. Il a été appelé à donner des cours et conférences en Suède (Université de Göteborg), Autriche (Université), Italie (Conservatoire Giuseppe Verdi de Milan), et également à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris. Il a également écrit et publié une dizaine d'articles.

Si l'esthétique des premières œuvres de Frédéric Durieux est clairement dans la lignée des œuvres post-sérielles des années 60-70, le style de ses dernières partitions développe une expression intense et raffinée dans laquelle harmonie, timbres et allures rythmiques jouent un rôle essentiel. Nombres de ses œuvres font référence à des textes poétiques : Exil II, pour soprano, contralto et ensemble, et L'Eau éclairée (1996-1998) pour soprano solo, chœur mixte et orchestre, sur des poèmes d'Yves Bonnefoy, Viridaria (1994) pour soprano et orchestre et Cristalet Corps (1995) pour 7 voix mixtes et orchestre de chambre, sur des poèmes d'Emmanuel Hocquard… Plus récemment, ses références se tournent vers l'art plastique : Gerhard Richter, Cy Twombly, Barnett Newman… En tout, son catalogue se compose de plus d'une vingtaine de partitions pour solistes, ensembles, voix et orchestre avec ou sans électronique.

Actuellement, Frédéric Durieux travaille à une pièce pour ensemble de 17 instrumentistes, commande de la Casa da Musica de Porto. Ensuite il composera un quatuor à cordes avec électronique, commande de l'IRCAM pour le quatuor Diotima. Enfin, il élaborera un opéra avec le critique d'art Jean-Pierre Criqui.

Traverses 1, 2 & 3 ont été créées, dans leur intégralité, le 21 novembre 2003 par l'Orchestre Philharmonique de Radio France placé sous la direction de Myung-Whun Chung.

Durée : environ 20 minutes


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Carlos GARAICOA


XXXIXe Prix International d'Art Contemporain de la Fondation Prince Pierre de Monaco

Les objectifs de la Fondation
Présenter chaque année, grâce au concours de Jurys éminents, une sélection internationalement représentative de la création actuelle,
Réaffirmer la valeur de l'œuvre dans le processus de la création,
Contribuer à l'émergence de nouveaux talents.
Ces trois objectifs définissent la nouvelle formule du Prix d'art contemporain qui est désormais attribué à une œuvre d'art contemporain, créée au cours des deux années précédentes par un artiste émergent, qui se voit consacrer à Monaco une exposition personnelle.

La nouvelle formule du Prix d'art contemporain souhaite réaffirmer la valeur de l'œuvre d'art dans le processus de la création artistique, comme fondatrice d'une pensée historique.

Il a donc été procédé à une consultation internationale d'une centaine d'experts qui ont été invités, à la fin de l'année 2004, à choisir une œuvre, créée par un artiste émergent et portant les fondements d'une pensée artistique actuelle, qu'ils auraient remarquée au cours des deux dernières années.

Cette première consultation, a permis de soumettre au Jury 54 dossiers d'œuvres d'artistes de 29 pays.
Ce Jury a retenu, parmi les 54 œuvres proposées, celle qui lui a été proposée par Lorenzo Fusi, Directeur du Centre d'art contemporain de Sienne, et que l'on doit à Carlos Garaicoa.

L'artiste
Premier lauréat de la nouvelle formule de son Prix, la Fondation Prince Pierre est heureuse de contribuer à l'émergence, sur la scène internationale, de ce jeune artiste cubain de 38 ans.

En 2005 Carlos Garaicoa, vient de participer à la 1ère Biennale de Moscou, le Musée d'art contemporain de Los Angeles vient de lui consacrer une exposition personnelle et participe à la Biennale de Venise 2005.

L'œuvre lauréate
Intitulée « Carta a los censores Lettre aux censeurs » datant de 2003, l'œuvre lauréate se présente comme une imposante maquette d'un cinéma imaginaire créée par l'artiste cubain Carlos Garaicoa, en réaction au délabrement actuel des anciens cinémas de La Havane, et montre notamment une salle où sont projetés, sur un écran noir, les titres des films censurés dans le monde.

Elle est emblématique du travail de cet artiste, né à La Havane, qui propose, dans ses sculptures, ses installations, ses photographies, une évocation troublante, émotionnelle et critique de son pays.

Cette œuvre a été acquise par la Tate Modern de Londres.


Les expositions
Deux expositions seront consacrées à Carlos Garaicoa :

l'œuvre lauréate sera exposée à partir d'une nouvelle proposition de l'artiste.
Salle du quai Antoine 1er
Du 15 juin au 10 juillet 2005

« La carta a los censores », 2003
Mixed media (wood, cardboard, plexiglass, wax, photographs
in lightboxes).
Installation, Tate Modern Collection, Londres

une installation in situ de l'artiste complétera, élargira, le propos conceptuel évoqué par l'œuvre lauréate
Centre de Rencontres Internationales/Théâtre Princesse Grace
12, avenue d'Ostende

Du 15 juin au 15 août 2005
« Now, let's play to disappear (II )»,
iron table, candles, wire, clodes circuit projection.
Installation, courtesy galleria continua, san gimignano-beijing

Ces expositions seront ouvertes du mardi au dimanche, de 15h à 19h (sauf le 12 juillet)
 
Some older pics of Caroline and Ernst together.

BTW cover.es has new really smaller watermarks.
 

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Thanks everyone for information and tbhrc You're pics are very great, thank you so much !!:)
 
Does anyone know how Ernst's health is these days? A co-worker told me he had started drinking again. Are he and Caroline on vacation?
 
I've added 70 new pics on my site of Princess Grace (Before Her Wedding and Monaco), Princess Caroline (Childhood, Youth, Life With Junot, Life After Junot, Life With Stefano, and Life After Stefano), and Princess Stephanie (Childhood, Youth, and Life After Ducruet).

Also updated the biographies of Princess Grace, Caroline, and Stephanie on my site. I hope you like them.

Monaco70s
http://www.geocities.com/monaco70s
 
Great job Monaco70 !!! I love the news photos !!:D
Thank you so much !!;)
 
Monaco70s, I have said it before and I'll say it again - you have absolutely the very best site on the web about the Monaco princesses! Thanks again for all your hard work! :)
 
Dreed777 I'm happy to know that you liked the new pics and thanks for your nice comments :)
 
Monaco, you have a wonderful site!!!!!!
And the new pics are great!!!!!!!!!!!!
 
Ernst August de Hanovre définitivement condamné pour blessures graves

BERLIN (AFP) - Ernst August de Hanovre, époux de la princesse Caroline de Monaco, a renoncé à tout recours et a donc été définitivement condamné à payer 445.000 euros d'amende pour avoir battu le propriétaire d'une discothèque au Kenya en 2000, a-t-on appris mercredi auprès d'un tribunal de Celle (nord de l'Allemagne).

Chef de l'une des plus anciennes maisons de la haute noblesse allemande, il avait été condamné en appel en novembre 2004 à 445.000 euros d'amende pour blessures graves.


"Sous l'emprise de l'alcool", selon son avocat, Ernst August avait battu le propriétaire d'une discothèque au Kenya en janvier 2000.


Sa victime avait affirmé avoir été frappée "10 ou 15 fois" par l'aristocrate dont plusieurs fois à l'aide d'un objet ressemblant à un poing américain.

Translation :)

Ernst August of Hanover definitively condemned for serious wounds
BERLIN (AFP) - Ernst August of Hanover, husband of the princess Caroline of Monaco, gave up any recourse and definitively was thus condemned to pay 445.000 euros of fine to have beaten the owner of a discotheque in Kenya in 2000, one learned Wednesday near a court from That (northern of Germany). Chief of the one of the oldest houses of the German nobility, it had been condemned in call in November 2004 to 445.000 euros of fine for serious wounds. "Under the influence of alcohol", according to its lawyer, Ernst August had beaten the owner of a discotheque in Kenya in January 2000. Its victim had affirmed to be struck "10 or 15 times" by the aristocrat of which several times using an object resembling an American fist.
 
juliette said:
I hope it's just a rumour but I read that marriage of P. Caroline & P. Ernst is in crisis. Here is a link to the article and video.
http://www.anarosa.telecinco.es/dn_232.htm
If I understand correctly they're in separation. :eek:

Even if I can't see the video (who knows why?:mad:), I won't and I can't believe that.:cool:
 
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